En 1989, la Chapelle Sainte Barbe du Faouët a fêté ses 500 ans, le 25 juin précisément.
A l'époque, j'avais réalisé un reportage photographique sur cet événement. Quelques images avaient déjà été publiées sous forme de cartes.
J'ai revu le sujet à fond et je viens d'éditer une série de 24 cartes noir et blanc inédites qui reprend différents moments de la fête surtout religieuse. Voici quelques cartes.
Cette série (à très faible tirage) est disponible auprès de L'AVENTURE CARTO, 13 rue du château de la garenne, 56410 ETEL au prix de 20 € (paiement par chèque).
A l'attention des collectionneurs du pays du Faouët : sachez que nous préparons la publication d'un album sur le sujet dont la sortie est prévue au mois de janvier. Ci-dessous, la couverture de l'ouvrage d'une soixantaine de pages. Je reviendrai sur le sujet quand le livre sera prêt.
lundi 25 décembre 2017
dimanche 24 décembre 2017
Ô CLOWNS, vendu lors de la vente de la collection J.C. Marchand
J'étais vraiment curieux de savoir à quel prix serait vendu le livre d'artiste Ô CLOWNS lors de cette vente aux enchères.
Je l'avais réalisé à 60 ex., format 21 x 24 cm. Sauf erreur (car je ne l'ai plus pour vérifier), il contient 30 tirages argentiques. J'en ai fait le texte de présentation et le le poète Jean-Claude Touzeil a écrit un poème à sa manière. La couverture a été réalisée par ERGON (une sérigraphie aquarellée, chaque couverture étant unique). Il a été publié en 2001.
Pourquoi un livre d'artiste ? Comme l'indique son nom, c'est un produit où l'on sent que les intervenants ont mis la main à la pâte. Il contient de véritables tirages photographiques. Il a peut-être davantage d'âme qu'un ouvrage imprimé. J'ai toujours au fond de ma tête des projets de livres d'artiste.
L'exemplaire était en vente, en 2001, au prix affiché de 380 F (300 + 80 de port, ce qui correspond à pratiquement 58 €).
On peut dire qu'il a trouvé preneur, lors de la vente, à un prix honorable : 150 € + frais. Ce qui me fait réellement plaisir.
Maintenant, tout cela est devenu de l'histoire presque ancienne... Si vous avez un peu de curiosité, vous pouvez découvrir le travail d'ERGON sur son site (ICI).
Je l'avais réalisé à 60 ex., format 21 x 24 cm. Sauf erreur (car je ne l'ai plus pour vérifier), il contient 30 tirages argentiques. J'en ai fait le texte de présentation et le le poète Jean-Claude Touzeil a écrit un poème à sa manière. La couverture a été réalisée par ERGON (une sérigraphie aquarellée, chaque couverture étant unique). Il a été publié en 2001.
Pourquoi un livre d'artiste ? Comme l'indique son nom, c'est un produit où l'on sent que les intervenants ont mis la main à la pâte. Il contient de véritables tirages photographiques. Il a peut-être davantage d'âme qu'un ouvrage imprimé. J'ai toujours au fond de ma tête des projets de livres d'artiste.
L'exemplaire était en vente, en 2001, au prix affiché de 380 F (300 + 80 de port, ce qui correspond à pratiquement 58 €).
On peut dire qu'il a trouvé preneur, lors de la vente, à un prix honorable : 150 € + frais. Ce qui me fait réellement plaisir.
Maintenant, tout cela est devenu de l'histoire presque ancienne... Si vous avez un peu de curiosité, vous pouvez découvrir le travail d'ERGON sur son site (ICI).
mardi 12 décembre 2017
La collection CIRQUE de Jean-Claude MARCHAND aux enchères
L'ami Jean-Claude nous a quittés le 8 février 2015. Il n'avait pas de descendance et, en tant qu'amateurs, nous étions un peu inquiets de voir se dégrader, peut-être, son immense collection d'objets de toutes sortes relatifs au CIRQUE.
La vente de cette collection est annoncée à LA FLECHE (72200) le samedi 16 décembre 2017 à 14h.15, en l'étude de Me Cyril DUVAL, commissaire-priseur.
La visite des lots est ouverte le vendredi après-midi et le samedi matin.
A l'image de ce qu'il s'était procuré auprès de L'AVENTURE CARTO (tous les livres et toutes les cartes publiées), on imagine l'étendue de sa collection papier.
Les images du site nous montrent aussi les nombreux lots de miniatures dont il disposait.
J'espère de tout coeur que cette vente sera un succès (non pas en fonction de surenchères) et que les lots trouveront preneurs, même à vil prix, pour qu'un peu de l'esprit de Jean-Claude perdure dans d'autres collections (car il y a certainement une documentation passionnante dans ses nombreux classeurs).
dimanche 10 décembre 2017
John CRAWFORD, photographe
Ses photos sont un véritable coup de poing qu'on reçoit en les regardant.
John CRAWFORD est un photographe Néo-Zélandais qui vit à Auckland.
Son travail professionnel est relativement classique.
Mais ici, c'est sa rencontre avec les sans-abris de sa ville. Vous allez me dire encore des portraits morbides. Sans doute ne voit-on pas toute la misère de la rue, que nous nous dégageons du problème en donnant un peu de notre richesse aux associations caritatives (un coup de chapeau aux bénévoles quand même). Enfin, chacun fait avec sa conscience.
John CRAWFORD est allé à leur rencontre, les a photographiés et a exposé leurs images. Profitant des réseaux sociaux qui ont fait connaître son travail, il a pu obtenir pour l'association caritative d'Auckland qui s'occupe d'eux des dons d'argent très importants. Bravo.
Voici quelques portraits :
John CRAWFORD est un photographe Néo-Zélandais qui vit à Auckland.
Son travail professionnel est relativement classique.
Mais ici, c'est sa rencontre avec les sans-abris de sa ville. Vous allez me dire encore des portraits morbides. Sans doute ne voit-on pas toute la misère de la rue, que nous nous dégageons du problème en donnant un peu de notre richesse aux associations caritatives (un coup de chapeau aux bénévoles quand même). Enfin, chacun fait avec sa conscience.
John CRAWFORD est allé à leur rencontre, les a photographiés et a exposé leurs images. Profitant des réseaux sociaux qui ont fait connaître son travail, il a pu obtenir pour l'association caritative d'Auckland qui s'occupe d'eux des dons d'argent très importants. Bravo.
Voici quelques portraits :
Sur le plan photographique, il faut savoir que ces portraits ont été réalisés avec un smartphone (iPhone 7 + filtre Hipstamatic), en lumière ambiante.
Les nouvelles pratiques photo sont pleines de promesses.
Merci à un article de la revue Réponses Photo de m'avoir fait découvrir ce photographe.
Pour ceux qui voudraient mieux connaître le travail de ce photographe, voici le lien vers son site : ICI
(attention, il y a au moins un autre John Crawford aux USA).
vendredi 8 décembre 2017
Le nouveau blog AU FOND DE NOS YEUX (Portraits de poètes)
Pour rendre plus lisible l'ensemble des photographies qui constituent les albums AU FOND DE NOS YEUX, j'ai conçu un nouveau blog que vous trouverez facilement avec le lien ci-dessous :
https://portraitsdepoetes.blogspot.fr/
Bonne découverte.
Yvon
https://portraitsdepoetes.blogspot.fr/
Bonne découverte.
Yvon
jeudi 30 novembre 2017
Barbara BAMBERGER, photographe
J'ai quitté la photo de cirque après le Festival de Figueras, mais mes amis savent bien que je garde un oeil sur ce qui continue de se jouer sur les pistes, notamment par les photos (mais aussi les vidéos) de Cirque.
Il y a trois jours le site Burguscircus a publié une excellente photo de la troupe Grechushkin prise lors du Festival de Zhuhai (en Chine). Une vidéo aussi. Avec la signature de Barbara BAMBERGER. Il y avait donc un photographe européen en Chine. C'est plutôt exceptionnel et cela méritait investigation.
Cette femme (jeune d'après la photo) se passionne pour la photo de spectacle. Elle vit en Suisse. Il semblerait qu'elle fasse de la photographie son métier.
Il y a trois jours le site Burguscircus a publié une excellente photo de la troupe Grechushkin prise lors du Festival de Zhuhai (en Chine). Une vidéo aussi. Avec la signature de Barbara BAMBERGER. Il y avait donc un photographe européen en Chine. C'est plutôt exceptionnel et cela méritait investigation.
Cette femme (jeune d'après la photo) se passionne pour la photo de spectacle. Elle vit en Suisse. Il semblerait qu'elle fasse de la photographie son métier.
chez Knie, cette année
Elle a déjà pas mal documenté le sujet, pour preuve les photos qu'elle publie sur le site 500px.com ICI. Elle est aussi passionnée par les paysages et la nature, en général.
Elle est passée par Figueres 2017, bon signe d'une certaine ambition. J'ai envie de dire à mes anciens collègues photographes, voici d'une certaine manière une concurrente tant il n'est pas évident de placer ses images !
Le Mexicain Marco Antonio PENAGOS à Figueres 2017
Ce sont surtout des photos prises dans les spectacles en Suisse qu'elle donne à voir, ci-dessous (Knie, Oh la la, Conelli)
Sur son site, ICI, Barbara BRAMBERGER se dit ravie de vous rencontrer.
On peut dire qu'elle réalise un très bon travail photographique... mais sans originalité pour le moment (le plus difficile étant bien de se démarquer de ce que font les camarades le long de la piste).
Bonne chance Barbara.
Ramón MASATS, photographe
Ramón MASATS (1931) photographe d'origine catalane est considéré comme une personnalité importante de la photographie espagnole (Prix national de photographie en 2004).
A ne voir que ce qui se fait dans l'hexagone, on oublie la vitalité qui a existé dans les années 50-60 en Espagne qui a produit des oeuvres qu'on dira immortelles. Mais ces photographes s'exportaient peu.
Comme MASATS, ils nous montrent l'Espagne d'alors. Une Espagne encore peu développée, avec ses traditions et son art de vivre qu'on essaie encore de retrouver aujourd'hui.
Un des premiers grands reportages réalisé par ce photographe indépendant fut la San Firmin de Pampelune dans les années 50. Il a aussi touché à la réalisation cinématographique, dans le documentaire notamment.
Aujourd'hui, il ne prend plus de photos et n'apprécie pas la photo conceptuelle.
Si on lui demande ce qu'est une bonne photo, il a une réponse pleine de bon sens : celle qui vous satisfait et qui satisfait celui qui la regarde.
A propos de bonne photo, je me suis intéressé à ce photographe après avoir vu cette image (ci-dessous) que je trouve être un vrai chef d'oeuvre.
Je n'ai pas encore trouvé d'informations sur les circonstances de la prise de vue, mais ça en dit long aussi sur l'importance du clergé espagnol dans la vie quotidienne.
Vous trouverez sur le net, à son nom, d'autres images pour avoir une idée de ses reportages.
A ne voir que ce qui se fait dans l'hexagone, on oublie la vitalité qui a existé dans les années 50-60 en Espagne qui a produit des oeuvres qu'on dira immortelles. Mais ces photographes s'exportaient peu.
Comme MASATS, ils nous montrent l'Espagne d'alors. Une Espagne encore peu développée, avec ses traditions et son art de vivre qu'on essaie encore de retrouver aujourd'hui.
Un des premiers grands reportages réalisé par ce photographe indépendant fut la San Firmin de Pampelune dans les années 50. Il a aussi touché à la réalisation cinématographique, dans le documentaire notamment.
Aujourd'hui, il ne prend plus de photos et n'apprécie pas la photo conceptuelle.
Si on lui demande ce qu'est une bonne photo, il a une réponse pleine de bon sens : celle qui vous satisfait et qui satisfait celui qui la regarde.
A propos de bonne photo, je me suis intéressé à ce photographe après avoir vu cette image (ci-dessous) que je trouve être un vrai chef d'oeuvre.
Je n'ai pas encore trouvé d'informations sur les circonstances de la prise de vue, mais ça en dit long aussi sur l'importance du clergé espagnol dans la vie quotidienne.
Vous trouverez sur le net, à son nom, d'autres images pour avoir une idée de ses reportages.
samedi 25 novembre 2017
Muhammed MUHEISEN, photographe
Dès l'âge de 19 ans, Muhammed MUHEISEN (1981) est entré à l'agence photographique Associated Press (AP).
Jordanien d'origine, il a couvert un grand nombre d'évènements importants du Moyen-Orient.
Il a obtenu le Prix Pulitzer en 2005.
Il vit au Pakistan. C'est là qu'il a photographié des enfants Afghans réfugiés.
Une série de portraits significatifs dont voici quelques-uns.
D'accord, c'est un travail photographique facile à réaliser, mais il permet de ne pas occulter ce drame parmi tant d'autres.
Jordanien d'origine, il a couvert un grand nombre d'évènements importants du Moyen-Orient.
Il a obtenu le Prix Pulitzer en 2005.
Il vit au Pakistan. C'est là qu'il a photographié des enfants Afghans réfugiés.
Une série de portraits significatifs dont voici quelques-uns.
D'accord, c'est un travail photographique facile à réaliser, mais il permet de ne pas occulter ce drame parmi tant d'autres.
Jan SCHLEGEL, photographe
Encore une découverte extra.
Photographe allemand, Jan SCHLEGEL(1965) a choisi, très jeune, de partir à la découverte des gens tels qu'ils sont, à travers le monde. Il aurait parcouru plus de 60 pays. Des gens 'bruts", dans leurs vêtements et leurs maquillages... Seule compte alors la personne pour elle-même, pour sa beauté et sa vérité, comme l'écrit le journaliste Pascal Gilbert.
Au laboratoire, Jan SCHLEGEL "avec patience et respect, peaufine le contraste, sublime les couleurs, embellit les lumières..."
Ce sont des images exceptionnelles.
Ceci n'est qu'une pâle présentation de cet artiste qu'il faut découvrir sur son site ICI .
Photographe allemand, Jan SCHLEGEL(1965) a choisi, très jeune, de partir à la découverte des gens tels qu'ils sont, à travers le monde. Il aurait parcouru plus de 60 pays. Des gens 'bruts", dans leurs vêtements et leurs maquillages... Seule compte alors la personne pour elle-même, pour sa beauté et sa vérité, comme l'écrit le journaliste Pascal Gilbert.
Au laboratoire, Jan SCHLEGEL "avec patience et respect, peaufine le contraste, sublime les couleurs, embellit les lumières..."
Ce sont des images exceptionnelles.