vendredi 31 mai 2024

Jean LAVOUÉ, poète et éditeur (1955-2024)

Jean LAVOUÉ par Yvon Kervinio, en 2016

J'ai rencontré Jean LAVOUÉ, pour la galerie de portraits de poètes que je projetais de publier (Au fond de nos Yeux n°2, 2017).
Il n'avait pas encore lancé son édition de poésie L'enfance des arbres. Je suis allé jusque chez lui dans la vieille ville d'Hennebont dont les hauteurs dominent la rive droite du Blavet, un espace privilégié.
Autant que je m'en souvienne, la rencontre fut cordiale, mais nous n'étions pas "au même étage". Le monde intérieur et spirituel qui l'animait n'était pas le mien... J'ai pourtant le sentiment d'avoir réalisé un portrait assez vrai, très éloigné de ceux qui accompagnent les articles qui le concernent. 

On trouvera, sur le net, suffisamment de commentaires sur son œuvre d'écriture et ses créations d'édition : 

Extrait de Ce rien qui nous éclaire (Jean Lavoué)

 

jeudi 16 mai 2024

Roland, Velux, Stéphane

Un drôle de titre pour cet article.

Mon bon ami Roland MAZURIÉ, maintenant retraité mais toujours passionné de cirque, n'a pas fait de casting pour cette aventure publicitaire.

Il se trouve que son physique correspond à l'artisan, prénommé Stéphane, que l'étude de Vélux a sorti de ses cartons. Et ce sont des voisins à lui qui s'occupent de la "réclame" et qui l'ont trouvé d'un claquement de doigts. Mais oui, bien sûr, c'est lui qu'il nous faut.

Voilà donc notre bon Roland devenu "artisan-symbole" des amateurs d'ouvertures Vélux...

Images suivent. Voici le "Roi de la visseuse !" 





vendredi 10 mai 2024

L' Affiche du 77e Festival de Cannes 2024


Il y a des moments où l'inspiration des créateurs impressionne.

Je trouve que cette affiche du Festival de cette année, faite de pas grand chose, est absolument formidable, et je veux partager ma réflexion avec vous.

L'agence Harland Villa est partie d'un photogramme d'un film d'Akira Kurosawa (Rhapsodie en août) pour recréer l'ambiance lunaire (un photogramme est une image du film -en couleur ici- à partir de la pellicule, transformée dans ce cas en monochrome bleu). Le résultat est merveilleux avec la palme du Festival qui remplace la lune que cette famille sereine partage avec dévotion ou recueillement. Le cinéma, sanctuaire universel de paix.

L'information, dans le coin haut, à droite, est d'une grande discrétion. Elle laisse toute sa force à l'illustration.

Magnifique et inspirant.

PS : il est probable que cette image soit la dernière de ce "petit film" de Kurosawa comme disent les critiques.