Pour ma part, il ne fait aucun doute qu'on peut intervenir autant qu'on veut (ou qu'on peut) sur l'image pour obtenir une image très proche de celle qu'on a imaginée. Les "manipulations" ne me gênent absolument pas, du moment que j'y trouve un plaisir de contemplation.
Parmi les portfolios présentés dans ce numéro de Réponses Photo se trouve notamment celui de la photographe australienne (installée en France depuis plus de 20 ans), Vee SPEERS.
J'avais déjà vu d'elle ce portrait de Jean-Claude Dreyfus, assez jubilatoire (les excentricités du personnage sont bien connues d'ailleurs !).
Dans la revue, c'est la série IMMORTAL qui est publiée. Un monde de jeunes humains au corps lissé comme dans les peintures sur toile, sur fond rocheux ou embrumé. Un univers de survivants après l'apocalypse. Pudique et beau.
Mais vous connaissez cette photographe... Si, si... La pochette du disque de Nolwenn Leroy ne vous avait pas échappé...
Les portraits des autres séries (The Birthday party et Thirteen) de Vee SPEERS me semblent plus intellectuelles, alors qu'ici nous sommes en pleine sensualité.
Paradoxe : la photographe Vee SPEERS fait tirer ses oeuvres sur papier argentique traditionnel (et non numérique). Il faut compter 1200 € pour se procurer un tirage. Voir le site de la photographe : www.veespeers.com
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