L'éléphant reste vraiment le symbole du cirque traditionnel.
photo Yvon Kervinio (2013)
photo Thierry Bissat (2012)
C'est tout à fait normal d'imaginer que la famille Knie s'est interrogée sur l'intérêt de continuer à présenter ses éléphants sur la piste :
-l'impact commercial des éléphants reste sûrement très fort (baignade dans les lacs, goûters, présentation intelligente) mais le nombre d'animaux susceptibles d'être présentés diminue.
-malgré le satisfecit de la PSA (Protection suisse des animaux), certaines réserves sont exprimées.
-le zoo de Rapperswil où peuvent vivre les éléphants est en extension et des programmes de sauvegarde de l'espèce sont bien perçus.
-qu'on le veuille ou non, la fin des éléphants sur le voyage et sur la piste est inéluctable.
Voir les nouvelles lois dans certains pays. Ringling l'annonce pour 2018.
-le zoo de Rapperswil où peuvent vivre les éléphants est en extension et des programmes de sauvegarde de l'espèce sont bien perçus.
-qu'on le veuille ou non, la fin des éléphants sur le voyage et sur la piste est inéluctable.
Voir les nouvelles lois dans certains pays. Ringling l'annonce pour 2018.
Sauf erreur, il s'agit d'un site du journal Le Matin (Suisse)
L'annonce ne déplaît pas à tout le monde : le titre accrocheur de cet article est violent et méprisant (de même que le mot "utiliser").
Sur le plan économique, le Cirque Knie n'a sans doute plus besoin des éléphants pour conserver l'attrait de ses spectacles. Comme il est dit dans les articles relatant cette décision, c'est le côté affectif qui fait de la peine. Oui, ces éléphants faisaient partie de la famille Knie.
Relire à l'occasion dans les pages 83 à 91 du livre de Christian Hamel (Les éléphants au cirque, 2001) toute la saga des éléphants Knie.
2 commentaires:
Un cirque sans animaux ce n'est plus du cirque !
Quand on lit le commentaire de Mr Kervinio on a tout compris ......
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